En d'autres termes
Modulation par Impulsions Codées
Modulation par Impulsions Codées
Compact Disc
Contrairement à une idée couramment répandue, le CD n'est pas le premier support d'enregistrement numérique: dès 1943, des disques vinyl traditionnels servaient à l'échange de clefs de chiffrement numériques dans le réseau militaire SIGSALY.
Les premiers entregistrements numériques non militaires ont été réalisés en 1957 par Max Mathews aux Bell Labs, les premiers enregistrements numériques pour transmission réalisés par la NASA lors du programme Apollo à partir de 1969, et le premier enregistreur numérique commercial, le Denon DN-023R, date de 1972.
1978 marque le rapprochement de Sony et Philips pour créer le CD, dont le lancement commercial a lieu à l'automne 1982. Voir DVD.
1978
Premier système de télécommunications numériques, déployé par l'armée étatsunienne en 1943 pour les communications entre les états-majors alliés US et UK sur la base d'un projet lancé en 1942, pour pallier l'insécurité des télécommunications analogiques brouillées, restituées en clair en temps réel par l'armée allemande. Reliant jusqu'à 12 stations lors de son retrait en 1946, son existence est restée secrète jusqu'en 1976, et a servi de support à plus de 3000 conférences secrètes.
Techniquement, le système, basé sur la nouvelle technique vocoder (voice coder) marque une série de premières technologiques:
Les valeurs aléatoires nécessaires à la génération des clefs de chiffrement était produites par le bruit thermique large bande de redresseurs à vapeur de mercure, converti en signaux par modulation FSK et enregistrés sur disques vinyl. Ces disques servaient de support des clefs.
15/06/1943
DARPA Agent Markup Language
Langage de description sémantique du contenu de pages Web, basé sur RDF. Voir réseau sémantique.
Dans une jointure ou contrainte d'intégrité référentielle, colonne d'une table faisant l'objet d'une validation en fonction de son appartenance à une autre table.
Voir SGBDR.
70s
clef étrangère
70s
intégrité référentielle
70s
70s
Atomicity, Consistency, Isolation, Durability
Les grands SGBD du marché, Oracle en tête (Informix, Sybase, Ingres, SQL Server), respectent globablement ces critères.
Certains SGBD mineurs ou Open Source également, comme Interbase 7.0, Firebird ou PostgreSQL.
D'autres, comme mSQL ou les premières versions de MySQL, font l'impasse sur certaines de ces propriétés en visant d'autres objectifs comme la simplicité ou les performances.
Cet acronyme est légèrement ironique : on trouve régulièrement "the ACID test" à propos de l'évaluation d'un SGBD, ce qui fait référence au test des métaux précieux à l'acide pour détecter les faux. L'absence de l'une des propriétés ACID (cas notamment de mSQL et MySQL) est ainsi située dans le discours comme signe d'un faux SGBD.
Comparer avec BASE.
Blue Screen Of Death