en

linking

En d'autres termes

liaison

Définition

Voir "liaison".

late binding

En d'autres termes

liaison tardive

Définition

Comparer avec early binding. Voir liaison tardive.

early binding

En d'autres termes

liaison précoce

Définition

Comparer avec late binding. Voir liaison précoce.

Digital Europe

Définition

Programme de l' Union Européenne consacré aux transformations induites par les TIC (NTIC) sur la société, et aux moyens par lesquels le développement durable doit permettre à l'UE de dominer ce secteur à l'horizon 2010.

Ce programme succède à l'initiative anglaise Digital Futures sur le même thème, clos en mars 2001. Voir Net-Economie.

Codexpo

Définition

Salon français des technologies de l'identification automatique (Auto-ID): codes barres, téléidentification, etc. Intégré à la SETI. Voir "SETI".

Bulletproof

En d'autres termes

Blindé

Définition

Nom de code de GroupWise 6 avant son lancement. Voir Hawthorn.

Hawthorn

Définition

Nom de code de GroupWise 6.5 avant son lancement. Voir Bulletproof.

Epoque du terme

2002-2003

kloc

En d'autres termes

kilo-line of code

Définition

Unité de mesure de taille de programmes, pour des mesures sommaires, vite obtenues, mais peu significatives. C'est une mesure source de litiges lors de la facturation de code produit en fonction du volume, pratique relativement peu répandue notamment pour cette raison. Les lignes vierges ou de commentaires seuls sont normalement exclues du décompte. Quelques ordres de grandeur sont connus :

  • 50 kloc - Word 3.0 pour DOS
  • 57 kloc - Sendmail
  • 80 kloc - Apache
  • 90 kloc - KDE
  • 100 kloc - Runtime des missiles Patriot
  • 200 kloc - API Internet Explorer 4 (fichier TLB)
  • 300 kloc - API Internet Explorer 5 (fichier TLB)
  • 500 kloc - Noyau Linux x86 de 2000
  • 600 kloc - API Internet Explorer 6 (fichier TLB)
  • 1 000 kloc - Unix System 5 version 4
  • 1 000 kloc - X.11 version 3
  • 1 500 kloc - XFree86 X.11 version 6
  • 3 500 kloc - Noyau Linux 2.6.18 hors pilotes
  • 7 500 kloc - Noyau Windows/2003 R2
  • 10 000 kloc - Distribution Linux typique en 2000
  • 13 000 kloc - Noyau Linux 2.6.30
  • 15 000 kloc - Windows/95
  • 18 000 kloc - Windows/98
  • 30 000 kloc - RedHat Linux 7.1
  • 35 000 kloc - Windows/XP (version initiale de 2001)
  • 50 000 kloc - Windows Vista (version provisoire mars 2006)
  • 63 000 kloc - AIX 5.2.0

Cette mesure n'est qu'à peine significative. La meilleure mesure de complexité d'un programme reconnue en 2002 est celle des points de fonction. D'autres mesures plus anciennes comme la complexité cyclomatique, sont plus significatives que les kloc, mais encore très peu significatives.

Sources:

qubit

En d'autres termes

quantum bit

Définition

"Bit" quantique pouvant avoir les valeurs 0 et 1 simultanément, avec des probabilités variables. La lecture de sa valeur entraîne l'effondrement de la fonction d'onde associée, ce qui permet, en lisant un seul bit, de déterminer en une seule opération la valeur d'un groupe potentiellement très vaste de qubits associés, ce qui forme la base d'une famille d'algorithmes massivement parallèles totalement nouvelle.

Les premières réalisations seraient les suivantes:

  1. 1997 - un système 2 qubits à résonance magnétique nucléaire, conçu par IBM, opérant en milieu chloroforme.
  2. 1997 - un système 2 qubits de l'université d'Oxford, opérant en milieu cytosine.
  3. 1997 - un système 3 qubits du LANL
  4. 1997 - un système 5 qubits fonctionnant à 215 Hz construit sur 5 atomes de fluor, par l'équipe d'Isaac Chuang au centre de recherche d'Almaden d'IBM
  5. 2001/12/19 - un système 7 qubits, par la même équipe, a permis la première implémentation de l'algorithme de factorisation quantique de Shor
  6. 2001/Q2 - un système 8 qubits non identifié a été signalé
  7. 2007/02/13 - un système 16 qubits, de classe adiabatique, a été présenté par la société Orion, comme le premier système quantique commercial
  8. 2008/02 - un système 28 qubits est annoncé, toujours par Orion, avec comme objectif un système 1024 qubits pour 2009
  9. 2011/05/18 - le D:Wave One est le premier système commercial (10 M$) à 128 qubits

Théoriquement, ce procédé permettra en particulier de rendre la factorisation aussi efficace que la multiplication (algorithme de Shor, 1994), détruisant du coup l'utilité des systèmes de cryptographie comparables à RSA. D'un point de vue plus pratique, l'algorithme de fouille de Lov K. Grover permettrait d'accélerer les recherches en bases de données d'un ordre de grandeur. Cet auteur indique que la recherche d'une application des propriétés des superpositions quantiques à l'informatique a commencé dans les années 70, jusqu'au début des années 80, avant de réémerger à la fin des années 90. Les pionniers du domaine sont des physiciens :

  • Charles H. Bennett, au Thomas J. Watson Research Center d'IBM
  • Paul A. Benioff, au laboratoire national d'Argonne (USA)
  • David Deutsch, à l'Université d'Oxford
  • feu le professeur Richard P. Feynman

Voir RSA, quantum cryptography

Epoque du terme

70s

.eu

En d'autres termes

European Union

Définition

TLD réservé pour l'Union Européenne.

Après des discussions au niveau technique depuis 1997, en Février 2002, le Parlement Européen a voté sa mise en place, après avoir été défin comme réservé par l'ICANN depuis 2000 en vue d'une éventuelle mise en service, suivi en Mars 2002 par le Conseil des Ministres Européens. Le règlement CE No 733/2002 du Parlement Europée et du Conseil, publié au JOCE du 30/04/2002, a instauré ce nouveau TLD et défini la procédure de sa mise en place.

Le registre, (l'entité responsable de la base centrale commune aux bureaux d'enregistrement (registrars)) doit être défini sur appel d'offres (attendu 13). Pour la première période, le registre est EURid.

Le règlement précise plusieurs poins issus de l'expérience des autres TLD :

  • Bien que l'Europe ne soit pas un pays, .eu est considéré comme un ccTLD suite à une réservation auprès de l'agence de maintenance de la norme ISO 3166, et non comme un gTLD (attendus 14 et 15). Les pays membres de l'EEE mais non membres de l'UE devraient être éligibles à l'utilisation du ccTLD .eu
  • Les Etats peuvent demander à la Commission Européenne la réservation ou l'interdiction de domaines de deuxième niveau (article 5.2) avant la mise en service du ccTLD, et ce jusqu'au 30/07/2002
  • L'hypothèse d'une subdivision nationale de type .fr.eu, .de.eu, .uk.eu, etc est explicitement écartée (attendu 19)
  • Le principe général d'attribution est de type "premier entré, premier servi" (attendu 20) avec une protection contre le cybersquattage (article 5.1)
  • Le déploiement du nouveau ccTLD est passé en particulier par un délai spécifique (sunrise period) permettant aux titulaires de droits antérieurs de déposer leurs demandes de domaines avant la mise en service, comme ce fut le cas pour les gTLD .biz et .info, afin de permettre notamment aux titulaires de marques et aux administrations de déposer leurs noms avant l'entrée en vigueur du système "premier entré, premier servi" et d'éviter ainsi litiges et spéculations sur les premiers domaines (attendu 16)
  • La gestion des domaines abandonnés (bona vacantia) devra être définie explicitement par le Commission Européenne (article 5.1 alinéa c)
  • Le registre sera un établissement sans but lucratif (article 3.2)
  • Le registre ne pourra pas être également bureau d'enregistrement (registrar) (article 3.4)
  • Le mandat du registre sera limité dans le temps et renouvelable

Comme pour .biz et .info, et contrairement aux affirmations de diverses sociétés aux pratiques douteuses, il n'a pas existé de mécanisme de "pré-réservation" pour les domaines dans le nouveau ccTLD .eu : déposer une demande (payante) auprès de l'une de ces sociétés n'a pas placé le demandeur dans la file d'attente premier entrée/premier servi. Le seul effet, dans le meilleur des cas envisageable, a été que la société concernée dépose la demande auprès du premier bureau d'enregistrement créé dès sa création. Les mécanismes de protection contre le cybersquattage prévus par le règlement ont comme prévu contraint les dépôts à respecter une charte de nommage contraignante, et ont nécessité production de justificatifs, de sorte que même cette hypothèse est sans doute exagérément optimiste.

Du point de vue de l'ICANN, ce TLD a posé un problème: c'est le premier à ne pas correspondre à un territoire autonome ou indépendant, mais à un regroupement, de sorte que son introduction sera le prélude à la demande de création d'autres TLD supranationaux (Asean, Mercosur, NAFTA), sans qu'il soit aisé de tracer une ligne de démarcation sur le bien-fondé de certaines créations.

Pour citer l'IANA: "IANA is not in the business of deciding what is and what is not a country".

Courant 2004, le contrat entre l'Union Européenne et le registre (registry) EURid a été finalement conclu, permettant d'attendre le lancement de l'accréditation de bureaux d'enregistrement (registrar") au cours du printemps 2005.

L'ensemble des documents légaux et réglementaires ont finalement été réglés en mars 2005, et le ccTLD a été ouvert à l'accès général le 07/04/06, conformément aux annonces qui prévoyaient la période fin 2005/début 2006. La période de lancement (sunrise period) s'est tenue de janvier à avril 2006.

Le mécanisme de protection d'EURid contre le cybersquattage a malheureusement été mis en déroute par des registrars fictifs créés en dernière minute et qui ont acquis en grande quantité des domaines supposés intéressants à revendre.

Epoque du terme

1997

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